Pendant longtemps, la cuisine à la maison, c’était surtout une histoire de mamans ou de grands-mères. Les papas ? On les imaginait plutôt dehors, à s’occuper du barbecue une fois par an, ou à ouvrir une pizza surgelée devant la télé. Mais ça, c’était avant.
Aujourd’hui, de plus en plus de papas enfilent le tablier avec fierté et passent derrière les fourneaux pour régaler leur petite tribu. Et franchement, ça change tout : on cuisine pour ceux qu’on aime, on partage des moments simples, on crée des souvenirs… et on en profite pour faire le plein d’idées sur des sites comme entrezdansmacuisine.com, un espace dédié à tous les papas (et les autres) qui aiment cuisiner en famille, sans prise de tête.
Pourquoi ce retour en force des papas dans la cuisine ? Qu’est-ce que ça change dans le quotidien ? Et surtout, pourquoi c’est une super nouvelle pour tout le monde ? C’est ce qu’on va voir tout de suite.
La fin du cliché “papa = barbecue, maman = cuisine”
Soyons honnêtes, pendant longtemps, on a tous vu la même image :
Papa = barbecue.
C’était sympa hein, mais ça restait une mission exceptionnelle, genre “attention, événement national : papa sort les saucisses et les allume-feu”. Le reste du temps ? “Chérie, qu’est-ce qu’on mange ce soir ?”
Heureusement, les choses changent. Aujourd’hui, de plus en plus d’hommes assument pleinement leur place dans la cuisine tous les jours, et pas seulement le dimanche en mode grillades.
Pourquoi ce changement ?
Parce qu’on a compris que cuisiner, ce n’est pas une “corvée réservée à maman”. C’est aussi un vrai plaisir, un moment de complicité, une façon de prendre soin des siens.
Certains s’y mettent par passion, d’autres parce qu’ils veulent transmettre quelque chose à leurs enfants, ou tout simplement parce que ça fait du bien de préparer un bon repas après une journée bien remplie.
Et entre nous, voir les yeux de ses enfants briller parce qu’on a fait “la meilleure quiche du monde”, ça n’a pas de prix, non ?
Cuisiner, une activité de super-héros du quotidien
Soyons clairs : on ne parle pas ici de devenir le prochain Top Chef ou de passer trois heures à faire une mousse d’asperges en gelée de basilic. Non, on parle de vraie cuisine de la vraie vie, celle qu’on prépare avec les moyens du bord, entre deux lessives et un “Papa, tu joues avec moi ?”.
Parce que cuisiner pour sa famille, c’est un super-pouvoir.
Quand on cuisine, on ne fait pas que nourrir nos proches, on crée des souvenirs, on partage, on rigole. On montre à nos enfants qu’on peut prendre le temps de faire les choses ensemble, sans pression.
C’est aussi une super école de la vie :
- On apprend à prendre son temps (même si on a faim).
- On apprend à suivre des étapes (même si on a envie de tout faire en même temps).
- On apprend à gérer les ratés (parce que oui, ça arrive à tout le monde de cramer une omelette…).
Des moments simples qui rapprochent
La vérité, c’est qu’on n’a pas besoin d’en faire des tonnes pour créer des souvenirs en cuisine. Ce qui compte, c’est le moment partagé, pas le résultat digne d’un restaurant étoilé.
Inviter les enfants à venir filer un coup de main, c’est déjà tout un programme :
- Casser les œufs (sans mettre de coquille, ou pas…),
- Mélanger la pâte avec énergie (et en mettre à côté, évidemment),
- Goûter à tout, même avant la cuisson (sous surveillance, bien sûr !).
Au final, ça ne sera pas parfait, ça prendra deux fois plus de temps, ça fera deux fois plus de bazar, mais qu’est-ce que c’est bon de voir les enfants fiers d’avoir participé.
Et tu sais quoi ? Ils mangent beaucoup mieux quand ils ont mis la main à la pâte. Magique, non ?
Cuisiner, c’est donner un peu d’amour, avec ses moyens, avec ce qu’on a sous la main, et ça… ça fait toujours plaisir à tout le monde autour de la table.
A la cuisine les papas !
Tu l’as compris, la cuisine ce n’est pas une histoire de performance ou de compétition. C’est une histoire de moments partagés, de sourires échangés, de petites victoires du quotidien.
Que tu sois déjà un as des fourneaux ou que tu penses encore que les pâtes au beurre sont ta spécialité ultime, ce qui compte, c’est de te lancer.
Pas besoin de viser la perfection : un plat simple, fait avec le cœur, vaut tous les repas livrés du monde.